J’irais vomir sur votre gueule putride,
Comme Vian cracha sur votre tombe,
Avec le plus abject des dégouts.
Votre répugnance n’a d’égal
Que votre inutilité à la brillance
D’un monde dont vous êtes les égouts.
Ne prenez pas cet air offusqué,
Vous le goitre, vous la salissure
D’une humanité en quête
De sa rédemption éternelle.
Je vous hais, au plus profond de moi-même,
Je vous voue une telle haine
Que Satan lui-même en serait effrayé,
De savoir qu’il y a plus fort que lui.
Car votre vie ne ressemble à rien d’autre
Qu’à un virus apocalyptique
Se répandant dans nos rivières,
Dans nos veines et dans nos cœurs.
Une seule arme, l’extermination par le feu…
Jusqu’à la disparition totale de chacune de vos cellules infectes.
Vous qui ne savez que profiter
De la bonté et la tendresse de ceux
Que votre charme putrescent
A soumis à vos milles bassesses.
Prenez donc encore une dose et passez over,
Ce sera, pour une fois, un geste d’une grande humanité.
Et ne comptez pas sur ma compassion.
Je n’en ai aucune pour le stupre et la luxure.
Car vous les avez choisis en connaissance de cause,
Comme d’autres choisissent leur foi.
Il en est certains que la vie a mal traités
Et qui pourtant, n’ont jamais cessé d’espérer.
Et vous, que la vie a gâté de milles talents,
Vous vous répandez en milles tourments
Pour ceux qui ont cru en votre lumière.
Allez donc au Diable,
Et n’en revenez surtout pas.
Amen.
I would go to vomit on your putrid mug,
As Vian spat at your grave,
With the most despicable of disgust.
Your repugnance is equal
Only to your uselessness in the shine
Of a world of which you are sewers.
Do not take this offended sight,
You the goitre, you the dirt
Of a humanity in search of its eternal redemption.
I hate you, in the depths of myself,
I dedicate you such hatred
That Satan himself would be frightened,
To know that there is more hardly that he.
Because your life looks like nothing else
Than an apocalyptic virus spreading in our rivers,
In our veins and in our hearts.
A single arm, extermination by fire …
Until the total disappearance of each of your vile cells.
You, who only know how to take advantage
Of the kindness and the tenderness of those
Your putrescent charm subjected to your thousand lownesses.
Thus take another dose and cross over,
It will be, for once, an act of a big humanity.
And do not counts on my condolence.
I have none of it for the debauchery and the lust.
Because you chose them with full knowledge of the facts,
As others choose their faith.
There is some that life badly treated
And who, nevertheless, have not stopped hoping.
And you, that the life spoiled of miles talents,
You spread in miles agonies
For those who believed in your light.
Thus go to the Devil,
And do not surely return from there.
Amen.
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