lundi 29 septembre 2008

Merveilleux monde ... Magnificent world

...

I
l faisait bon et beau sur le chemin de cailloux.
J’arrivais finalement au bout, dans une grande clairière
Inondé de soleil et piaillements d’oiseaux.
Et là, se dressant dans sa monumentale extravagance,
La plus extraordinaire des maisons.
Le plus extraordinaire des lieux.
Une maison – poésie, où l’imaginaire
Et le concret s’unissent en des volutes improbables
mais pourtant bien là, sous mes yeux.



Une maison-ode à la vie - qui chante
La perpétuelle interrogation de nos aspirations.
J’ai quittais l’architecture à cause de ce manque glacial
D’approche humaniste de la vie.
J’ai trouvais en ce lieux des raisons de retrouver l’envie.
Dieu comme l’architecture, lorsqu’elle ne parle plus d’espace bâti,
De surfaces habitables, mais d’érotisme,
de recueillement, de soleil et de méditation,
Une architecture qui ne met pas en scène le quotidien
mais l’extraordinaire,
Le fantasme, le rêve,


Dieu que cette architecture est définitivement divine…




The weather was good and beautiful on the road of pebbles.
I arrived finally in the rear, in a big clearing
Flooded with sun and noisy songs of birds.
And there, drawing up itself in its monumental extravagance,
the most extraordinary of houses.
The most extraordinary of places.
A house - poetry, where the imagination
And the concrete unite in improbable volutes
but nevertheless really there, under my eyes.
A house-ode to life - Which sings
The perpetual interrogation of our aspiration.
I have stoped working in architecture because of this icy lack Of humanist approach of life.
I have found there good reasons for finding back the envy.
God as the architecture, when it speaks about
no more built space, living space,
but of eroticism, meditation, sun and contemplation,
architecture which does not stage the everyday life but the extraordinary, The fantasy, the dream,


God that this architecture is definitively divine …

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