samedi 20 décembre 2008

A brief passage in human Timing

Harassée d’informations et de network, sous le joug d’une survivance orchestrée, l’humanité est en train de perdre tout contact avec sa mystique. Les codes universelles sombrent peu à peu sous les eaux troubles des croyances matérialistes.
Les quêtes de l’éternel se joue sur l’échiquier mondiale de la finance spéculative où l’or noir remplace désormais la foi.
Et l’homme sage meurt.
Il faisait sombre lorsque je pris mon premier trip. Personne autour de moi. Seul mon ami me veillait. La monté fut vertigineuse, presque brutale. Ce qui m’entourait calmement se mis à s’agiter de soubresauts erratique. Mon sang lui-même devenait vertigineux. Je le sentais en moi affluer en longues tornades spiroïdales. Mon corps s’affaissait à mesure que mon esprit s’envolait vers….
L’homme sage se meurt car il ne trouve plus matière à sa sagesse. Le rythme trépident des machines outils automatisées crépitent en lui comme la guerre jadis, ravageait les territoires lointains. Pourtant, l’homme sage sait. Et plus que jamais, l’humanité fut en situation de manquer de savoir. Savoir ancestral de l’équilibre des forces qui maintiennent l’équilibre global. Plus que jamais, l’homme devrait se retourner vers son sacré, vers sa dimension extra-humaine, pour y retrouver sa véritable essence.
Et l’homme moderne meurt.
Ce fut une fusion. Une fusion avec le tout. Indescriptible savoir que je traversais, émerveillé par la cohérente beauté de la logique universelle à l’état pure.
T.O.U.T.. E.T.A.I.T.. A.. S.A..P.L.A.C.E.
Et même moi, petit engin spatial au cœur de l’infini, je me mouvais avec la grâce de l’innocence.
Et lorsque j’en revins. Lorsque ce voyage s’acheva. Tout se qu’il m’en resta fut….
Un sourire.






Exhausted from information and of network, under the yoke of an orchestrated survival, humanity is losing any contact with its mystic. The universal codes sink little by little under turbid water of the materialist beliefs.
The searches of the eternal is played on the world affairs’ scene of speculative finance where the black gold replaces from now on the faith.
And the wise man dies.



It was was dark when I taken my first trip. Nobody around me. Only my friend took care me. Gone up was vertiginous, almost brutal. What surrounded me calmly put to be agitated suddenly by erratic starts. My blood itself became vertiginous. I felt it in me to flow in long spiroid tornadoes. My body subsided as my spirit flew away towards….
The wise man dies because it does not find any more matter with its wisdom. The rate/rhythm vibrate of the automated machine tools rattle in him like the war formerly devastated far territories. However, the wise man knows. And more than ever, humanity is in situation to miss knowing. Ancestral knowledge about the balance of forces which maintain the global balance. More than ever, the man should turned over towards its sacred, towards his extra-human dimension, to find his genuine essence there.
And the modern man dies.



It was a fusion. A fusion with the whole. Indescribable knowledge that I crossed, filled with wonder by the coherent beauty at universal logic to the state pure.
E.V.E.R.Y.T.H.I.N.G..W.A.S..A.T..I.T.S..R.I.G.H.T..P.L.A.C.E
And even me, small space engine in the middle of infinite, I was driven with the grace of innocence.
And when I returned from there. When this voyage was completed. All that it me remained about it was….
A smile.

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