Toi, divin créateur du vivant, connais-tu l’être le plus doux,
Que même la fièvre ne pourrait froisser ni soumettre ;
Que même la colère ni la haine ne pourrait même voir ?
Un être hors des sentiers communs
Que même les tempêtes n’oseraient approcher ;
Que la mousson, dans sa plus forte saison, ne pourrait friper ?
Toi, le savant alchimiste des cellules et des nébuleuses,
Sais-tu la femme d’un autre monde,
Dans la pure essence d’un songe d’une nuit parfaite,
Que même les hommes ne penseraient à profaner :
Que même les fauves ne sauraient effrayer ?
Sais-tu cela ?
Car je l’ai vu, danser derrière des voiles de soie,
J’ai vue son âme pure épouser le vent et charmer la pluie.
J’ai vu son visage auréolé de lumière
Souriant aux étoiles et aux lacs.
J’ai senti son parfum de santal
Embaumer les forêts d’orchidées.
Car elle est Princesse de la vie
Ange des passions délicates
Qui danse avec son âme
Par-dessus l’horizon,
Dans un palais lointain,
Sur une terre sacrée…
The Last Dancer [ part 2 ]
You, divine creator of the alive, do you know the most soft being,
Whom even fever could not offend nor subject;
Whom even anger or hatred could not even see?
A being outside the common paths
Whom even storms would not dare to approach;
Whom the monsoon, in its strongest season, could not crumple?
You, the skilful alchemist of cells and nebulas,
Do You know the woman of another world,
In the pure essence of a perfect night dream,
Whom even the men would not think of desecrating:
Whom even fawns would not know to frighten?
Do you know it?
Because I saw her, to dance behind silk veils,
I saw her pure soul marrying the wind and charming the rain.
I saw her face taken on an aura light
Smiling to stars and lakes.
I smelt her flavor of sandalwood
Embalming the forests of orchids.
Because she is Princess of the life
Angel of the delicate passions
Who dances with his soul
Over the horizon,
In a distant palace,
On a sacred land …
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