|
Qui sont donc ces tout juste femmes que le regard du mâle toujours plus vicieux dénude jusqu’à l’outrance… ? Ces jeunes filles que la noirceur de certaines âmes donne en pâture aux vautours qui se repaissent de leur tendre chair, de leurs graciles formes. Que font-elles donc ainsi exposées comme on exhibe de la viande d’abattoir, au kilo, sans se soucier que derrière cette apparente insouciance, ce sont de fragiles êtres que l’on brise, dans leur plus secrète innocence, pour satisfaire la soif d’or des uns, et l’impuissance sexuelle des autres. Filles de papier glacé ou de paquet d’octets, qui pourtant ont un cœur, et qui peut-être pleureront à jamais, leur beauté déflorée par de sinistres fossoyeurs sans scrupule ni même l’ombre d’une humanité, sinon en perdition. C’en est à pleurer… |
Who are thus these just became women whom the glance of the male always more depraved strips until the extravagance? These girls whom the blackness of certain souls gives in feed to the vultures who delight of their tender flesh, of their slight form. What they thus make so exposed as we show some meat of slaughterhouse, in the kilo, without caring that behind this so supposed freedom from care, It is of fragile beings to be crushed, in their more secret innocence, to satisfy the gold thirst of some, and the impotence of the others. Girls of glazed paper or package of bytes, which nevertheless have a heart, and which maybe will cry for ever, their beauty spoiled by sinister gravediggers without scruple nor even the shade of a humanity, otherwise in perdition. It is there to cry …
|
|
Images trouvées par hasard sur le web et volontairement floutées.
Images found accidentally on the web and voluntarily blured.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire