jeudi 4 décembre 2008

The child



Je regardais cet enfant, étranger en sa propre terre,
Presqu’effrayé de ses bruits inutiles de gens vociférant…

Je regardais cet enfant et j’aurai voulu lui parler…
Lui dire…
« N’ai pas peur, petit homme, ces gens repartiront
aussi stupides qu’ils sont arrivé…
Ne craint rien, je suis là et je veille à ce qu’aucun d’eux ne t’approche,
Ne te parle, ne te regarde même…
Demain ils se seront évanouis dans la torpeur de leur néant…
Et toi, petit ange, tu sera toujours là…
A regarder le temps qui caresse les dunes…
A écouter le vent qui murmure à ton oreille,
Tu sera encore là, lorsque leurs ruines auront pâli… »

Mais je n’ai rien pu lui dire qu’un sourire et un dinar…
Ma foi, ça voulait dire la même chose… J’espère




I was watching the child abroad in his own land,
Almost scared by these unnecessary noise from clamorous people ...

I looked at this child and I shall have wanted to speak to him … Say to him …
"Do not be afraid, little man, these people will leave
As stupid as they came …
Nothing fears, I'm here and I shall ensure that none of them approaches you,
speak to you, even look at you ...
Tomorrow they will be gone in the torpor of their nonexistence ...
And you, little angel, you will always be there ...
Looking at the time which fondles dunes …
Listening to the wind that whispers in your ear
You will still be there, when their ruins will have turned pale …... "

But I had nothing to say than a smile and a dinar ...
Well, it meant the same ... I hope.






To all child living in poverty

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