lundi 8 février 2010

Comme un mirage violant l’horizon…

Je vois ces ombres aux ailes crochues comme des milliers de mensonges
Traverser le ciel et venir à moi de leurs sourires familiers en quête de nouvelles supercheries.
Mais Google est un ami pour qui sait chercher, et peu de ces vagues acides polluent mon rivages.
Je suis roc, falaise, écueils, et s'il arrive que certaines m'effritent, mon territoire est vaste.
Alors toi, océan du rien qui navigue tes eaux troubles, agites-toi encore de ta belle écume
Et fais donc naufrager quelques navigateurs imprudemment penchés sur tes charmes…
Finalement, tu ne nourris que peu, comparé à ce que tu empoisonnes…
Et tes armes, fussent-elles affutées au sang, n'écorcheront plus ma peau, car désormais,
Je me fous que tu ais raison à la face du monde, au fond de moi règne la vérité,
Et nul ne pourra la nier devant l'éternel.

Comme un mirage violant mon horizon, tu m'as voulu marionnette à ton jeu de dupe,
Mais j'ai appris, grandis, élevé mon regard, et mon horizon terrestre va bien plus loin
Que tes tortueux fantasmes de gloire et d'admiration.
Ils te seront bien inutile, tous ces admirateurs béats,
Lorsque que ta propre ombre avalera ta dernière goute d'humanité
Que j'aurai essayé de préserver.
Mais puisque tu y tiens, alors je te laisse errer dans ton propre néant.

Bien à toi, enfant perdue….






As a mirage violating the horizon …

I see these shadows in hooked wings as thousands of lies
Crossing the sky and coming to me of their familiar smiles in search of new trickeries.
But Google is a friend for who knows how to look, and of few these acids waves pollute my bank.
I am rock, cliff, stumbling blocks, and if it happens that some crumble me, my territory is vast.
Then you, ocean of the nothing which sails your shady waters, stir still of your beautiful foam
And thus shipwreck some sailors carelessly tilted on your charms…
Finally, you feed only few, compared with what you poison …
And your weapons, whatever sharp in the blood they are, will not graze anymore my skin, because henceforth,
I don't care that you looks right at the world face, in my deep lays the truth,
And nobody shall deny it in front of the eternal.

Like a mirage violating my horizon, you wanted me your puppet in your trickery,
But I have learned, grown, raised my eyes and my earthly horizon goes far beyond
Whether your twisted fantasies of glory and admiration.
They'll be useless, all these blissful admirers,
When your own shadow will swallow your last drop of humanity
I have tried to preserve.
But since you insist, then I let you wander in your own nothingness.

Bien à toi, lost child ...

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