It started in the middle of nowhere,
And this is where it's going to end.
The middle of nowhere is the middle
of a thousand torments,
a thousand of golden dreams
that do not survived
the first light.
And who took his ticket of gold letters,
The reason caught him and showed him the door
Written by the language of the disingenuous
The words of hell. And hell is rough
Hell has no rules
Or that of his own purpose ...
Pervert and feasting.
Do you hear, you who are not there yet,
The thuds of destinies dying
Wallowing in the meal
The great pretender,
From great pretender ...
From the villain who maliciously drew
In her honey trap?
The journey began by illuminate the sky,
By creating new stars.
Wildfire that has not withstood the light
Of the first morning on planet earth.
And it will end up in these ashes
That the rain turns into mud,
Stone vanity, for there be sacrificed.
The eternal journey was a miserable artifice.
Cela a commence au milieu de null part,
Et c'est là qu'il va finir.
Le milieu de null part est le milieu
De mille tourments,
Un millier de rêves en or
Qui n'auront pas survécus
la première clarté.
Et pour qui a pris son billet aux lettres d'or,
La raison le rattrape et lui montre la porte
Où s'inscrit de la langue du fourbe
Les mots de l'enfer. Et l'enfer est rude,
L'enfer n'a pas de règles,
Sinon celle de son propre dessein…
Pervertir et se repaitre.
Entendez-vous, vous qui n'y êtes pas encore,
Les coups sourds de ces destins mourant
Qui se vautrent dans le repas
Du grand simulateur,
Du grand prétendeur…
Du fourbe qui par malice les a attiré
Dans son piège de miel ?
Le voyage avait commencé par illuminer le ciel,
Par créer de nouvelles étoiles.
Feu de paille qui n'a pas résisté à la lueur
Du premier matin, sur la planète terre.
Et il finira dans ces cendres
Que la pluie transforme en boue,
En pierre de néant, pour s'y sacrifier.
Le voyage éternel n'était qu'un pitoyable artifice.