samedi 20 septembre 2008
8 Mars 2093. March 8 2093
Extra-versalité des endorphines primaires dans les synapses trans-frontales. Synthèse moléculaire des enzymes négatifs pour la fixation des neurotransmetteurs sur les dendrites neuronaux. Le signal cognitif atteint le noyau. Le poison est là, à l’affut. Prêt à s’introduire au centre de ma pensée, il va anéantir le Gaba et ainsi stopper toutes inhibitions. Dans quelques instants, je vais devenir la plus dangereuse des machines humaines à semer la mort et la destruction…
Il y a trois heures que les doc-actifs de l’Aphtahr m’ont injecté le KB18. Impossible de réussir ma mission sans cet apport chimiquement toxique. Je ne devrais pas tarder à sentir les effets. J’aurai alors 13 MNS et 38 S pour franchir les postes de sécurité de la base.
J’ai franchi tout les barrages, semant la mort parmi les gardes du centre spatiale de Sulawesi-ACD. Je suis presque au cœur de la base. Il me faut absolument détruire le moteur HHV21. Sans cela, le gouvernement mondial des Kaffihrs va encore frapper et anéantir tous nos efforts de re-civilisation de la planète. Je place la bombe à neutrons ionisés sur la paroi inférieure du moteur, à l’exact endroit où les plans montrent clairement le passage concentré des fluides alimentant la pile à fragmentation subsonique. Voilà, je déclenche le compte à rebours...
… 10 … inutile de courir, je ne pourrais échapper … 9 … au souffle. Ça je le savais dès le départ … 8 … Dieu Oméga, je viens te rejoindre … 7 … ma pauvre femme qui crois que … 6 … je suis au travail. Je t’aime, Shaani ! Ça y … 5 … est mes bras se paralysent, le KB18 commence à … 4 … détruire mes cellules nerveuses. Mon cerveau se … 3 … r a l e n t i . J e n e v o i s p r e s q u e … 2 … p lu s . J e m e u r s a u n o m d e m e s f r … 1 … è r e s … S h a a n i j e t ’ a i m …
"Ce matin, à 8 heures 45, Un attentat d’une ampleur inégalé a détruit toutes les infrastructures du centre spatial de Sulawesi-ACD. Aucune installation n’ a résisté au souffle de l’explosif. Les autorités parlent de dizaines de milliers de morts et blessés grave. Aucune revendication n’a pour l’instant …."
Three hours ago the Aphtahr's docs-assets injected me the KB18. Impossible to success my mission without this chemically toxic contribution . I should not delay to feel the effects. I shall have then 13 MNS and 38 to cross the security posts of the base.
I went through everything dams, sowing death among the guards of the spatial center of Sulawesi-ACD. I am almost in the heart of the base. It is absolutely necessary to destroy this engine HHV21. Or, the Kaffihrs' world government is going again to strike and to annihilate all our efforts in re-civilizating the planet. I place the ionized neutron bomb on the lower wall of the engine, in exact place where plans show clearly the concentrated passage of the fluids feeding the subsonic fragmentation pile. Here we are, I start the countdown...
...10... useless to run, I could not escape ...9... the blow. I knew that from the beginning ...8… God Omega, I come to join you ...7... my poor wife who believe that ...6... I am at work. I love you, Shaani! Here it is, my arms ...5... get paralyzed, the KB18 begins ...4... to destroy my nerve cells. My brain ...3… s l o w d o w n. I d o n o t s e e a l m o s t ...2... a n y m o r e. I d i e i n t h e n a m e o f m y b r ...1... o t h e r s … S h a a n i , I l o v e y o …
" This morning, at 8:45 am, An unequalled attack destroyed all the infrastructures of the Sulawesi-ACD space center . No installation resisted to the blow of the explosion. The authorities speak about tens of thousand of death and casualties. No claim has at the moment... "
Un Matin ..... One Morning
Un matin,
au détour du camp bédouin qui nous accueillit une nuit,
je croisais par maladresse ce regard d’un autre univers, ce visage d’un autre age,
où j’ai lu la fierté mais la simplicité,
le rugueux et l’infini,
où l’émotion n’est pas théâtrale
ou plutôt,
la vie est une immense pièce de théâtre
où chacun joue sa vie.
Un matin j’ai croisé ce regard, et puis d’autres,
Et puis d’autres encore….alors
je sus que j’étais en terre des [vrais] hommes.
Je sus qu’en ces terres se trouvait une source à laquelle j’aspire sans le désirer
Depuis sans doute longtemps…
Je sus qu’en ces terres je ne me sentirai plus orphelin.
Et je sus que le vrai désert, c’était là d’où je venais et où se suis revenu…
L’autre, celui d’après Ksar Guilane, est bien plus riche…
A morning,
in the bend of the Bedouin camp which welcomed us one night,
I crossed by clumsiness this glance of another universe, this face of another age,
where I read the pride but the simplicity,
the rough and the infinity,
where the emotion is not theatrical
or rather,
the life is an immense theater's set
where each plays his life.
One morning I crossed this glance, and then some others,
And then more others ... So
I knew that I was in the land of the [true] men.
I knew that in these lands was a source in
which I hope without wishing,
Since doubtless for a long time …
I knew that in these lands I shall not feel any more orphan.
And I knew that the true desert was there, where I came from and where I returned …
The other one, over Ksar Guilane, is quite richer …
photo:Jeffe
Mère Nature Mother Nature
Mère Nature,
Couche-toi sur moi.
Etends ton grand drap bleu azure
Et penches sur moi les brins d’herbes.
Fais voler les libellules devant mes yeux
Et emplis mes mains de coccinelles.
Fais souffler le vent gentiment sur mes joues
Et arrose-moi de soleil.
L’air était pure, j’ai marché sur la plage, j’ai écouté la sagesse des vagues et appris à voler en regardant les mouettes…
Mother Nature,
Go to lay on me.
Spread your big blue sheet azure
And tilt on me blades of grass.
Make fly dragonflies in front of my eyes
And fill my hands of ladybirds.
Make blow the wind friendly on my cheeks
And spray me with sun.
The air was pure, I walked on the beach, I listened to the wisdom of waves and learnt to fly by looking at gulls …
Photo:Jeffe
L’auto destruction
sauvera t-elle nos âmes ?
Je prends une lame de rasoir et je tranche mes veines.
Alors mon sang coule et inonde ma vie…
Je prends une arme et plonge sa balle dans mon cœur.
Alors mon sang ne coule plus dans ma vie…
Je prends une corde et je m’y pends.
Alors mon sang explose à chaque pulsation…
Tout cela est dérisoire…
Tout cela est vain…
Il n’y a pas de mort, il y a la vie.
La mort n’existe pas, elle est juste du vide…
La vie existe, elle est le plein, elle est l’eau
Elle est la chaleur qui nourrit.
Alors je range ma lame de rasoir
Et je laisse mon sang à sa place.
Je vais marcher un peu…
Dans ce nouveau petit matin…
Will the
self-destruction
save our souls?
I take a razor blade and I cut my veins.
Then my blood pours and floods my life …
I take a gun and plunge its bullet into my heart.
Then my blood does not flow any more into my life …
I take a rope and I hang myself there.
Then my blood explodes in every pulsation …
All this is derisory …
All this is vain …
There is no death, there is life.
The death does not exist, it is just of the empty space …
The life exists, it is the height, it is the water
It is the heat which feeds.
Then I store my razor blade
And I leave my blood at its place.
I'm going to walk a bit …
In this new early morning …
To "Cry IN the Dark"
Nous sommes faits de larmes…
Pensez-vous qu’il s’agisse là de tristesse ???
Je connais un territoire secret, où nos larmes
Sont la pluie qui arrose nos rêves
Et les arrose d’absolu.
Je connais une tournure d’esprit
Qui inverse les processus,
Exactement comme la camera
Prend sa photo à l’envers.
Alors nos larmes ne nous mouillent plus
La poitrine mais inonde cette terre
Et fait y pousser les arbres
Où nous pouvons nourrir le vrai savoir :
L’illumination.
Dans le second niveau,
Le noir est Blancheur…
Et la société des hommes,
Qui est le premier niveau,
N’a pas de barreaux ronds pour cela…
We are made of tears …
Do you Think that it is about sadness there???
I know a secret territory, where our tears
Are the rain which sprays our dreams
And sprays them with absolute.
I know a turn of mind
Which inverts the processes,
Exactly as the camera
Takes its photo upside down.
Then our tears do not wet us any more
The breast but flood this ground
And makes there the trees to grow
Where we can feed the true knowledge:
The illumination.
…
In the second level,
The black is Whiteness …
And the society of the men,
Which is the first level,
Have no round bars for that …
Original Post : Cry In The Dark By Dimana Matahari-Ku
vendredi 19 septembre 2008
Le Pont --/-- The Bridge
"
Ce qui était solide –s’effrite.
Ce qui était liquide – se fige.
Ce qui était sûr – n’existe plus.
C’est horrible !
Au dessus de l’abîme terrible, un pont étroit -
Et c’est vous.
Ainsi faites attention à vous-mêmes.
As-tu peur d’être le pont ?
Il est pris grand soin du pont,
Car on a grand besoin de lui.
Le trompeur va et vient.
Il se présente même comme le pont,
Mais il sera humilié devant l’œil
Qui n’est pas tourné vers l’extérieur.
Soyez attentifs !
Je te dis un secret :
Il y a une chose que le trompeur ne sait pas.
Une chose qu’il ignore : le Nouveau.
A ce signe vous pouvez le reconnaître.
Il en a trompé beaucoup…
Gravez cela dans votre cœur !
"Gita Mallaz-"Dialogue avec l'Ange"
LE PONT
L’homme devint [Homme]
Mais ne combattit plus
L’ombre –
L’ombre ne se combat pas –
L’ombre se révèle à elle-même
Et devient alors la lumière –
L’ombre est de la lumière
Eteinte –
L’homme devient [Homme]
Mais il n’est pas la lumière –
Il en est son essence –
Et il en est le canal –
L’homme s’offre en [Homme],
Alors le pont se finit
Et la lumière descend –
Déjà dans l’ombre
Dansent les premières
Lueurs –
L’ombre ne sera plus de
L’ombre mais de la lumière
Ainsi rallumée –
Ainsi la mort n’existe pas
Elle n’est que la vie qui se
Rétrécie –
Ainsi, la maladie n’existe pas
Elle n’est que la vie qui se
Ralentie –
L’homme établira le pont
Et ses vertus d’[Homme]
Combleront pour longtemps
Les trous de la vie de l’homme.
Et les hommes seront éternels
Car l’éternel n’est pas une durée
Mais un instant, où tout
S’est uni.
Tous les sens opposés, tous les
Ennemis, tous les contraires.
Chaque infime molécule y trouve
Son harmonique résonnante –
Alors tous les atomes
Entrent en fusion.
Et le Grand Pont se finit en ce moment –
"
What was solid - crumbles off.
What was liquid - congeals.
What was sure - does not exist any more.
It is horrible!
Above the terrible abyss, the narrow bridge -
And it is you.
So paid attention on yourselves.
Are you afraid of being the bridge?
Great care of the bridge is taken,
Because we need him.
The deceiver goes and comes.
He appears even as the bridge,
But he will be humbled in front of the eye
Which is not turned to the outside.
Be attentive!
I say to you a secret:
There is a thing which the deceiver does not know.
A thing which he ignores: the New.
In this sign you can recognize him.
He deceived it a lot …
Engrave it in your heart!
"
Gita Mallaz-"Dialog with the Angel"THE BRIDGE
The man became [Man]
But did not fight any more
The shade–
The shade is not fightable –
The shade reveals itself in itself
And becomes then the light –
The shade is
A faded light –
The man becomes [Man]
But it is not the light –
It is its essence –
And it is the channel –
The man offers himself in [Man],
Then the bridge finishes
And the light comes down –
Already in the shade
Dance the first
Lights–
The shade will be no more
Shade but the light
So relit-
So the death does not exist
It is only the life which
Shrunk –
So, the disease does not exist
It is only the life which
Slowed down –
The man will establish the bridge
And his virtues of [Man]
Will fill for a long time
The holes in the men’s life.
And the men will be eternal
Because the eternal is not a duration But a moment,
When everything united.
All the opposite senses, all the Enemies, all the contraries.
Every tiny molecule finds its
Harmonic sound ringing there –
Then all the atoms
Enter fusion –
And the Big Bridge finishes at the moment.
Les Murs de Belhimos <> The Walls of Belhimos
Qui, dans la cité, pourra de son étendard, conjurer les légions putrides du Prince de l’abyme ? Ni Prince Vélarh, ni seigneur Derisshal ne sont encore en vie. Eux seuls avaient la sainte foi pour éblouir cette marée annoncée. Mais leurs corps gisent écartelés, démantelés par les serres des voraces Vonphruuls, et leurs entrailles ornent désormais la ceinture de quelques Grimposums. Non, plus personne de notre sainte armée ne peux espérer porter notre oriflamme en bouclier divin. Et de tous les fiers chevaliers ailés, il ne reste que moi…
Je suis Prince Ovie, fils de Gbundan, Roi des Olifins du nord, dernier à maintenir la paix du ciel sur cette terre que l’obscurité va définitivement recouvrir. Je n’ai que seize ans et je vais mourir ce soir, lorsque l’aube sera devenue rouge du sang de mes frères, de mes sœurs.
« Roi Gbundan, mon père. Pardonnes ma faute car ce soir, je ne pourrais vaincre, je ne pourrais rien, et je ne reverrai pas le matin, plus aucun matin. Mon corps gira au pied de Belhimos, notre cité où maints Anges résidèrent. Père, bénissez moi une dernière fois, avant que je n’aille assister à la fin de notre fier peuple… »
Alors que le soleil d’Elicor projette ses derniers rayons sur les remparts de la forteresse des lumières, une immense clameur s’élève à l’horizon, signal que la charge des olifants et de leurs attelages hideux de Morphils a commencé. Le ciel se voile de milliers de points obscurs. Ce sont les archers Argors qui viennent de lâcher leurs flèches empoisonnées.
Alors que je me dresse pour hurler une dernière fois « Pour l’honneur de notre peuple ! », deux flèches m’atteignent de leurs dards, une à la gorge, et l’autre en plein cœur…
Je ne verrai plus aucune aurore au pays des Olifins…
....Les âges noirs commencent
Horned heads climb walls-weightlessness by the shade of the breaths. Back to front of their decorations in colors of the opposite, the burning rusling of their teeth which rub themselves annihilate the red dawn which will not thus come any more. Lord of the darkness, of the lusts and the vices, his hour is not and he grinds along the fluorescent swamps. “To have been and not to be any more”. Such are the chants of the mercenaries-beetles that the gold does not make vacillate and their troops extend from walls to walls. The city of the Angels is going to fall soon in their claws of reddish ash. Is there more sinister fate than to fall under the dust of the vile, even when we dress in the light of the star Salvira? Wild Archariens in front of the hairy Bohrchoffs' army announces of their agacins the eminence of the last assault. The one who will ravage the plain and will cross the walls of the golden fortress.
Who, in the city, will, of its banner, ward off the putrid legions of the Prince of the abyss? Neither Prince Vélarh, nor Lord Derisshal are still alive. But their bodies lie quartered, dismantled by the greenhouses of the gluttonous Vonphruuls, and their intestines decorate henceforth the belt of some Grimposums. No, no one anymore of our holy army can hope to hold our banner in divine shield. And of all the proud winged knights, there is only me resting …
I am Prince Ovie, son of Gbundan, King of the Olifins of North, last one to maintain the peace of the sky on this land which the darkness is definitively going to cover. I am only sixteen years old and I am going to die this evening, when the dawn will have become red from the blood of my brothers, my sisters.
"King Gbundan, my father. Forgive my fault because this evening, I could not overcome, I could nothing, and I will not see the morning, I shall see no mornings anymore. My body will lie at the feet of Belhimos, our city where many Angels lived. Father, bless me a last time, before I go to attend the end of our proud people … "
While the sun of Elicor throws its last beams on the ramparts of our fortress of lights, an immense clamor amounts from the horizon, signal that the assault of the olifants and their hideous harnesses of Morphils began. The sky hides itself of thousand dark points. It is the archers Argors who have just left their poisoned arrows.
While I raise myself to roar a last time " For the honor of our people! ", two arrows reach me of their stings, one in the throat, and the other one it full heart … And I fall over to the gap...
I shall see no more dawn on the land of the Olifins …
L'AUTRE PRINCE ~ THE OTHER PRINCE
For a so long time that the memory of the beginning is almost vain...
- I walk unlimitedly and still along the emptiness
- And every step becomes henceforth another abstract life.
- And that for a long time, hidden behind, a hardly tangible vision,
that I would so much have wanted real.
- But the images pass... Nothing. I walk and already the memory becomes blurred,
curls up in its forgetting.
- But how not to believe, it would be only for a moment, that it exists, that it is true.
… I do not know any more.
- I do not want to know any more, just to walk, the sand. Silence.
- I was already here since so for a long time…
Lettre aux Hommes ... A letter to Men
Learn to love you yourself...
Without lies nor subtleties.
" Are you the man about whom you would dream to be? No? Do you only still dream ? Or did life already smashed your wings? But what is your dream? Of yourself, of the other one ? Who are you in secret?”
The road which leads to self is long, precarious sometimes, painful often. Because before to build, it is necessary to demolish the former, to face the buried wounds, the errors and the faults, admit that formerly, we were a bastard, we hurted. Even if our ignorance is in charge, then let us go out of this ignorance and let us meditate how, thanks to our defeats, we can become better men. It is long, very long.
If to climb a hill is easy, to climb Everest is far more beautiful …
Learn to love the others...
Each for what they are and not for what you would like whether them to be.
" Do you know who is the other one? Do you look at him with tenderness? Envy? Jealousy? Do you listen to him? Do you look at him? Do you see him joyful? Do you see his sadness sometimes? Do you know that the other one is not always equal? That he changes, evolves, increases, declines? "
The road which leads to the others is long. Because it is not enough to know their names for to known who they are. We do not know the others by applying them our own criteria but by discovering theirs. And to do so a great humanity is needed to accept that the others are simply "different". And this humanity makes that the difference enriches us.
Do not say to me that I already know. Say what I do not know yet …
Learn to love the women...
To learn from them.
"Whom are they? What are these so different human beings ? At first in their bodies. Do we know it? Really? Do we know that they are more resistant than us, we the men? Then in their spirits. Let us come out that they are often more brilliant, although the life lets them be woman without forcing them … Then in their dreams. About what dream the women? And do they dream about us "well" ?”
The road which leads to the women is fascinating. But the first effect, on us, we the men, is that it reveals us our " feminine part ". I do not say that we become women ! But our strength of man is nothing without our feminine strength. That those who laugh go out of this room. Thank you. Because women’s world is magic, even if they are not quite perfected, even if they can be also tiresome as we.
Women are a mystery which only asks to offer itself
Learn to love...
We guess to know, but we do not.
" To love, is it to give? Either to impose? Is it to receive? Either to take? Is it not to see ourselves anymore or to see ourselves better? Is it to show what we are really or to lie by what we tell to be ? Is it to make concessions or never to make some? "
The road which leads to love is delicious. To love is a falling star, it sparkles in our sky and transports us in a somewhere else, otherwise, surprising. To love has an end only if we have badly loved. Because the love is eternal. Only our imperfections shorten the eternity.
The Love is perfection, a godsend...
Who is THE Woman?..
Somewhere, they make similar that us, them look for us too …
"Suddenly, my heart began beating senselessly. I did see nothing more but her, in spite of the crowd … Our glances cross themselves … We smile mentally, to say ourselves we recognized. We walk one towards the other, silently, without a useless noise … We brush, we get drunk, and we succumb … "
What magic is it there? The other one, THE Woman, our being recognize her from the first moment. No need of form, of selections’ criteria, measurements and DNA’s ID card. Our heart is henceforth pure and our energy radiant. Do not look for her, our soul will, attracting her to us, as hers does it on us. Our dream of the Perfect Love is your only asset. Lets dream her strongly, very beautifully, and she will come, and we will go to her to meet. We will open a door without reason, she will be behind, at the right moment we do not look for anymore, but without stopping dreaming of her …
THE Woman is unique, she lives far, and she looks for me too...
How to love THE Woman...
And not a woman
" My Woman is my best Friend. She is my Mentor and my Muse. She is my model, my admiration, my enjoyment from morning till night, she is my drunkenness, in the tenderness and in the passion. My Wife never disappoints me, even with her mistakes, her weaknesses. But she dazzles me by her strength and her wisdom … "
Lets find this soul sister, this being who makes us complete, and let us to be guided, taken. Listen to her, she is right. And when she listens to us, be sure to be right in our wisdom. Lets us work to offer all the reasons for her to admire us. As she will too. She is our absolute priority. Soothe her tears and make her laugh. Make her drunk with our smiles and with our naughtiness. Make her life a magic one!
And our life will be amazing…forever…
… Enden
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[ Comment aimer une femme ? ]
Apprendre à s’aimer soi-même...
Sans mensonges ni artifices.
« Êtes-vous l’homme que vous rêveriez d’être ? Non ? Rêvez-vous seulement encore ? Ou la vie a-t-elle déjà fracassé vos ailes ? Mais quel est votre rêve ? De vous-même, de l’autre ? Qui êtes sous en secret ?
Le chemin qui mène à soi est long, périlleux parfois, douloureux souvent. Car avant de construire, il faut démolir l’ancien, affronter les blessures enfouies, les erreurs et les fautes, avouer à soi-même que jadis, on fut un salaud, on fit du mal. Même si notre ignorance en est la responsable, alors sortons de cette ignorance et méditons comment, grâce à nos défaites, nous pouvons devenir des hommes meilleurs. C’est long, très long.
Si gravir une colline est facile, gravir l’Everest est autrement plus beau…
Apprendre à aimer les autres...
Chacun pour ce qu’il est et non pas pour ce que vous aimeriez qu’il soit.
« Savez-vous qui est l’autre ? Le regardez-vous avec tendresse ? Envie ? Jalousie ? L’écoutez-vous ? Le regardez-vous ? Le voyez-vous joyeux ? Voyez-vous sa tristesse parfois ? Savez-vous que l’autre n’est pas toujours égale, qu’il change, évolue, grandit, régresse?»
Le chemin qui mène aux autres est long. Car il ne suffit pas de connaitre leur nom pour savoir qui ils sont. On ne connait pas les autres en leurs appliquant nos propres critères mais en découvrant les leurs. Et pour ce faire, il faut une grande humanité pour accepter que les autres soient tout simplement « différents ». Et cette humanité fait que la différence nous enrichit.
Ne me dis pas ce que je sais déjà, dis ce que je ne sais pas encore…
Apprendre à aimer les femmes...
Pour apprendre d’elles.
« Qui sont-elles ? Quels sont ces êtres humaines si différentes ? D’abord dans leurs corps. Le connaissons-vous ? Vraiment ? Savez-vous qu’elles sont bien plus résistantes que nous, les hommes ? Puis dans leurs esprits. Savez-vous qu’elles sont souvent bien plus brillantes, pour peu que la vie les laisse être femme sans les contraindre… Puis dans leurs rêves. A quoi rêvent les femmes ? Et nous rêvent-elles « bien » ? »
Le chemin qui mène aux femmes est passionnant. Mais le premier effet, sur nous, les hommes, est qu’il nous révèle notre « part féminine ». Je ne dis pas que l’on devient des femmes ! Mais notre force d’homme n’est rien sans notre force de femme. Que ceux qui rigolent sortent de cette salle. Merci. Car le monde des femmes est magique, même si elles ne sont pas toutes parfaites, qu’elles peuvent être aussi chiantes que nous.
Les femmes sont un mystère qui ne demande qu'à s'offrir
Apprendre à aimer...
Nous croyons savoir, mais nous ne savons pas.
« Aimer, est-ce donner ou bien imposer ? Est-ce recevoir ou bien prendre ? Est-ce ne plus se voir ou se voir mieux ? Est-ce montrer ce que l’on est vraiment ? Ou mentir par ce que l’on dit être ? Est-ce faire des concessions ou ne jamais en faire ? »
Le chemin qui mène à aimer est délicieux. Aimer est une étoile filante, elle scintille dans notre ciel et nous transporte dans l’ailleurs, autrement, surprenant. Aimer n’a de fin que si nous avons « mal » aimer. Car l’amour est éternel. Seules nos imperfections raccourcissent l’éternité.
L'Amour est perfection, un don du ciel...
Quelque part, elles font pareil que nous, elles nous cherchent aussi…
« Soudain, mon cœur se mit déraisonnablement à battre. Je ne voyais plus qu’elle, malgré la foule… Nos regards se croisent… Nous nous sourions mentalement, pour nous dire que nous nous sommes reconnus. Nous marchons l’un vers l’autre, silencieusement, sans un bruit inutile… Nous nous effleurons, nous nous enivrons, et nous succombons… »
Quelle magie est-ce là ? L’autre, LA Femme. Notre être la reconnait désormais dès le premier instant. Nul besoin de formulaire, de critères de sélections, de mensurations et de carte d’ADN. Notre cœur est désormais pure et notre énergie rayonnante. Ne la cherchez pas, notre aura le fera, l’attirant à nous, comme la sienne le fait sur nous. Notre rêve de l’Amour Parfait est notre seul atout. Rêvons la très fort, très beau, et elle viendra, et nous irons à sa rencontre, nous ouvrirons une porte sans raison, elle sera derrière, au moment même où nous ne la cherchons plus, sans cesser de la rêver…
LA Femme est unique, elle vit loin, et elle me cherche aussi...
Comment aimer LA Femme...
Et non pas une femme
« Ma Femme est ma meilleure Amie. Elle est mon Mentor et ma Muse. Elle est mon modèle, mon admiration, ma joie, du matin au soir, elle est mon ivresse, dans la tendresse et dans la passion. Ma Femme ne me déçoit jamais, même avec ses erreurs, ses faiblesses. Mais elle m’éblouit par sa force et sa sagesse… »
Trouvons cette âme sœur, cet être qui nous rend complet, et laissons-nous guider, emporter. Écoutons-la, elle a raison. Et lorsqu‘elle nous écoute, soyons sûr d’avoir raison dans notre sagesse. Œuvrons pour lui offrir toutes les raisons de nous admirer, comme elle le fera pour nous. Elle est notre priorité absolue. Consolons ses larmes et faisons la rire. Enivrons-la de nos sourires et de nos espiègleries. Rendons sa vie magique !
Et notre vie sera étonnante… pour toujours…
...Fine
jeudi 18 septembre 2008
Anarchie Artistique
JE
MEMBRE UNIQUE DU GROUPE D’ACTIVISME ARTISTIQUE
AA
(Anarchie Artistique)
DECLARE :
L’immobilisme artistique, la torpeur culturelle, le passéisme créatif
De nos vies,
Je ne le supporte plus.
Ici, il est des artistes qui meurent,
Faute d’être entendus, reconnus, aimés.
Car un artiste est un bateau qui se brise
Sur les falaises écharpées des malaises quotidiens.
Un artiste se meurt un peu plus chaque jour,
Et renait au matin, qu’à la seule force de son Art.
Ecoutez donc l’Artiste, au fond de sa tanière,
Hurler son impuissance à capturer l’irréel,
A convoiter le surnaturel.
Sans un regard, un Artiste est un misérable,
Au plus bas de son échelle des valeurs humaine,
Car l’Artiste est avant tout un donateur.
Il explore là où personne ne pense à aller
Et en ramène de multicolores stratégies,
Bien plus lumineuses, bien plus belliqueuses
Que tout ce que les faiseurs de guerre ne pourront jamais porter.
Car l’Artiste est un guerrier,
Pourfendeur du néfastes des réalités,
Ennemie éternelle des évidences erronées
Qu’égrènent les marchands de sable et leur cupidité…
Et s’il n’était qu’un seul prophète, annonceur des chaos à venir,
Alors il est celui-là, sinistre mais auguste messager
De l’indicible que le compassant ne perçoit pas.
Alors je le déclare,
Je mettrai des bombes de mots dans vos cerveaux,
Je ferais dérailler vos trains de quotidien,
J’exploserais en vol vos certitudes et vos équations,
J’empoisonnerai vos parchemins rouillés
Aux larmes du passé,
Je torturerais vos bons gouts éphémères
Accotés à vos cercueils déjà chauffés.
J’irais braquer vos banques de sperme
Pour que vous ne vous reproduisiez plus,
Vous les tristes, vous les gris
Qui avez pris le pouvoir, faute d’en avoir le talent.
Et j’irais uriner sur les tombes de vos calculassions arides,
Rejetons mort-né de vos pâles révélations.
Tremblez ! Vils et huissiers,
La justice en a assez d’être une balance flétrie,
Elle s’arme de canon et va vous pulvériser.
Et vous me trouverez là, tout en haut de ma barricade, à hurler
LIBERTÉ !
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I
UNIQUE MEMBER OF the GROUP OF ARTISTIC ACTIVISM
AA
( Artistic Anarchy)
DECLARE:
The artistic opposition to progress, the cultural torpor, the creative passeism
Of our lives,
I do not bear it any more.
Here, there are artists who die, for lack of being heard, recognized, liked.
Because an artist is a boat which breaks
On cliffs gashed by the daily illness.
An artist is dying a little more every day,
And rebirth in the morning, than in the only strength of his Art.
Thus listen to the Artist, at the bottom of his den,
Roaring its impotence to capture the unreal,
To desire the supernatural.
Without a glance, an Artist is a miserable,
At the lowest of his human scale of values,
Because the Artist is at first a donor.
He investigates there where nobody thinks of going
And returns of multicolored strategies, more brilliant, more warlike
Than all that the war makers can never carry.
Because the Artist is a warrior,
Destroyer of fatal of the realities,
Eternal enemy of the erroneous evidences
Whom shell the sandmen and their greed …
And if he was only a single prophet, an announcer of the chaos to come,
Then he is that one, sinister but august messenger
Of the unspeakable whom the compassant does not perceive.
Then I declare it,
I shall put words' bombs in your brains,
I would make your trains of everyday life go off the rails,
I would explode in flight your certainties and your equations,
I shall poison your parchments made rusty
In the tears of past,
I would torture your checks short-lived gouts
Leaned in your already warmed coffins.
I would go to hold up your sperm banks
So that you did not reproduce any more,
You the sad, you the grey
Who took the power, for lack of having its talent.
And I would go to urinate on the graves of your dry calculassions,
Offsprings stillborn of your weak revelations.
Tremble! Mean and bailiffs,
The justice has enough to be a withered balance,
It arms itself with cannon and is going to pulverize you.
And you will find me, there at the top of my barricade, to roar
FREEDOM!