Je veux une guerre qui comme une main de Dieu, laverait la terre.
Je veux une guerre. La plus terrible et sans merci pour purifier l'air.
Je veux une guerre. Je la veux sortant de mes mains qui terrasserait l'enfer.
Je veux une guerre qui serait aussi cruelle qu'elle le fut naguère.
Il me faut une guerre. Vite, vite, vite et maintenant pour ne plus vous plaire.
Il va y avoir une guerre. J'en sens le commencement tant le vrai se terre.
C'est déjà la guerre. Tellement, vous qui mentez et me forcez à me taire.
I want a war which as a hand of God, would Wash the earth.
I want a most terrible and most merciless war to cleanse the air.
I want a war I want it going out of my hands which would bring down the hell.
I want a war which would be as well cruel as it has always been.
I need a war. Soon, soon, soon and now to please you not anymore.
It is going to be a war. I feel it beginning so much the truth is in hiding.
It is already the war. So much, you who lie and force me to keep silent.
samedi 28 novembre 2009
I WANT A WAR
mercredi 25 novembre 2009
I’ve Got To Change The World…
Je dois changer le monde
Car le monde ne me va plus…
Il est sale, laid, et il ment…
Autrefois, je me disais :
« Ce monde est merveilleux. Toutes ces choses de par le monde semblent une belles mécanique, une horloge qui me donne l’heure de l’air du temps »
Et je voguais innocemment sur ce flot de bonnes intentions.
Et si on disait qu’il y avait une guerre, je me sentais si fière d’être du coté des gentils.
Car on nous le disait très fort et très clair : « Nous sommes les gentils !!! »
Je dois changer le monde
Car le monde ne me va plus…
Il est sale, laid, et il ment…
Puis un jour, quelqu’un m’a dit que peut-être nous n’étions pas si gentils que ça…
Que les guerres ne se faisaient plus pour défendre le « Bien »,
mais pour défendre ou même voler des biens.
Que les banques ne gardaient pas notre argent pour notre sécurité,
Mais pour leur propre profit.
Que nous mangions non plus grâce aux hommes qui travaillent la terre
Mais par des hommes qui exploitent la terre.
Que l’eau que nous buvions n’avait plus aucune saveur,
sinon celle du chlore et du profit….
Ce jour là, j’ai pleuré….
Je dois changer le monde
Car le monde ne me va plus…
Il est sale, laid, et il ment…
Aujourd’hui, je vis dans un monde de chaos,
Où mon voisin me ment,
Où mon épicier me vole,
Où mon patron m’exploite jusqu’au sang.
Et même ma femme m’abandonne
Et me trompe dans une langueur infinie.
Et je lis derrière ses sourires figés
Que son bonheur est ailleurs,
Quelques part sur le web,
Flatteurs de l’espace virtuel
Qui s’incrustent dans son sommeil
Pour y verser du rêve bon marché.
Je dois changer le monde
Car le monde ne me va plus…
Il est sale, laid, et il ment…
Et finalement, je vois bien que je n’y peux rien.
Alors je me dis : « puisque c’est ainsi, laissez-moi vous dire adieu, et changer de monde »
Et je voguerai loin de toutes vos trahisons…
Je ne vous aime plus.
*
I have to change the world
Because the world doesn’t fit me any more …
it is dirty, ugly, and it lies …
Formerly, I used to tell myself:
"This world is magnificent. All these things throughout the world seems one beautiful mechanic, a clock which gives me the hour of the sight of time"
And I navigated innocently on this stream of good intentions.
And if we said that there was a war, I felt so proud to be of the highly-rated of the gentiles.
Because we were told very loud and very clear: " we are the gentiles!!! "
I have to change the world
Because the world doesn’t fit me any more …
it is dirty, ugly, and it lies …
Then one day, somebody told me that maybe we were not so much kind …
That the wars weren’t made anymore to defend the "Good",
but to defend or even steal of the possessions.
That banks did not keep our money for our safety,
But for their own profit.
That we eat no more thanks to the men who work the ground
But by men who exploit the earth.
That the water which we drank had no more flavor,
otherwise that some chlorine and some profit.
This day there, I cried….
I have to change the world
Because the world doesn’t fit me any more …
it is dirty, ugly, and it lies …
Today, I lived in a world of chaos,
Where my neighbor lies to me,
Where my grocer steals me,
Where my boss exploits me up to the blood.
And even my wife abandons me
And cuckolds me in an infinite slowness.
And I read behind her motionless smiles
That her happiness is somewhere else,
Somewhere on Web,
Flattering of the virtual space
Who are embedded in her sleep
to overturn of the cheap dream there.
I have to change the world
Because the world doesn’t fit me any more …
it is dirty, ugly, and it lies …
And finally, I see as well that I can’t do anything about it.
Then I say to myself: " since this is the way, let me say goodbye to you, and jump in another world "
And I shall navigate far from all your treasons …
I do not love to you any more…
jeudi 19 novembre 2009
Ailleurs...
Je suis ailleurs,
Mais mon cœur flotte toujours
Là où personne ne viens troubler mon rêve,
Là où personne ne pollue l'air que je respire,
Là où personne ne noircit mon silence......
Je pense à toi...
Il n’y a rien en ce monde
Qui ouvre l’âme plus que l’Amour
Si tant est que cet Amour ne fut de paille
Et ne brule les amants aveuglés par la lumière de leur propre feu.
Feux follets et capricieux....
J’erre parmi les constellations des âmes perdues,
Des cœurs brisés,
Parmi les banqueroutes des trafiquants d’Amour,
Faussaires en tout genre,
Bonimenteurs et camelots frauduleux.
Que de larmes et de rancœur.
Évitons les bazars colorés
Des charlatans,
Ne perdons pas notre âme,
Et plaçons ce précieux Trésor que nous portons dans nos cœurs
En lieu sûr.
Je pense à toi aussi...
Dédicacé à nous deux... Éternels voyageurs de l'absurde...
Qui ouvre l’âme plus que l’Amour
Si tant est que cet Amour ne fut de paille
Et ne brule les amants aveuglés par la lumière de leur propre feu.
Feux follets et capricieux....
J’erre parmi les constellations des âmes perdues,
Des cœurs brisés,
Parmi les banqueroutes des trafiquants d’Amour,
Faussaires en tout genre,
Bonimenteurs et camelots frauduleux.
Que de larmes et de rancœur.
Évitons les bazars colorés
Des charlatans,
Ne perdons pas notre âme,
Et plaçons ce précieux Trésor que nous portons dans nos cœurs
En lieu sûr.
Je pense à toi aussi...
Dédicacé à nous deux... Éternels voyageurs de l'absurde...
mercredi 18 novembre 2009
Words…
Chaque mot que nous disons, même en secret dans notre esprit, influence le monde.
Ils sont les milliards de milliards de gouttes d'eau qui font l'océan.
Si un seul est pollué, alors l'océan est en danger.
Avec l'avènement d'Internet, nos mots ont prit de la vitesse.
Ils vont plus loin, plus vite. Restent plus longtemps.
Et nous déversons dans cet océan le fruit de nos entrailles, béni ou non.
Chacun, sous l'anonymat de nos pseudos - mais pas de nos adresses IP -
Écrit ce que bon lui semble sans une once de conscience que ses mots vont tourner
Autour de cette planète, captée par d'autres, façonner des opinions, des idées, des actes…
Alors je pose cette question :
« Est-ce que nos mots sont dignes ? »
Et je ne parle pas de morale mais du « Parler Vrai ».
Car je vois ça et là, des mots vides, des mots malsains déguisés de sagesse.
Je vois ces mots se glisser dans l'esprit des naïfs et s'y répandre comme un poison à long terme.
Je n'ai jamais pu finir « La parole humiliée » de Jacques Ellul.
Mais je sais en substance ce dont il s'agit. Et finalement, tout est dans le titre.
Nous humilions notre parole.
Et cela est grave, car de toutes les valeurs humaines, toutes les sociétés, quelque soit leur époques
Ou leur lieu, en ont retenu une : la parole.
« Je donne ma parole » - « Je jure devant Dieu » - « Je certifie sur l'honneur » - …
Toutes ces phrases ont construit les valeurs de notre « vivre ensemble ».
Et si aujourd'hui, ces phrases n'ont plus de VRAI sens,
alors…
Nous ne sommes plus qu'une horde sans nom semant le désordre dans notre propre cœur.
The power of the verb.
Every word that we say, even in secret in our spirit, influences the world.
They are the billion of billions water's drops that make the ocean.
If only one is polluted, then the ocean is in danger.
With the advent of Internet, our words have gained speed.
They go farther, faster. Stay longer.
And we pour in this ocean the fruit of our womb, blessed or not.
Each, under the anonymity of our pen names - but not of our addresses IP –
Write that ever he wants without one ounce of consciousness that its words are going to run
Around this planet, got by the others, shaping opinions, the ideas, acts …
Then I ask this question:
" Do our words are worthy? "
And I do not speak about morality but of "True Speaking".
Coz I see here and there empty words, unhealthy words disguised by wisdom.
I see these words skipping in the naïves' mind and spreading as a long-term poison there.
I was never able to end the reading of "La Parole Humiliée (The humiliated word) ", from Jacques Ellul.
But I know basically what's about. And finally, everything is in the title.
We humble our word.
And this is significant, because of all the human values, all societies, of all times
Or places, held one: the word.
" I give my word " - " I swear in front of God " - " I certify on the honor " - …
All these sentences built the values of our "Living together ".
And if today, these sentences do not have TRUE sense anymore,
then …
We are not more than a nameless troop scattering the disorder in our own heart.
lundi 26 octobre 2009
IN THE DEATH CAR
Nous flottons doucement
Au Volant de nos voitures mortelles.
Changeant de visage comme nous tournons à droite,
Puis à gauche…
Puis de retour dans l'habitacle de notre vie ennuyeuse,
Nous avalons nos petits cachets d'opium
Pour effacer les traces de nos mauvaises interprétations ;
Nos migraines ne sont pas des maux de têtes,
Mais le solde de tout compte d'une vie passée
A raconter des histoires à dormir debout,
Pour pouvoir juste survivre à notre médiocrité.
Je dis « nous », mais je dois être honnête, je pense
« il » ou « elle » ou bien encore « eux ».
Car depuis longtemps, j'ai revendu ma voiture mortelle,
Et je vais marchant, le long des corridors tortueux
De vos subconscients comme les égouts d'une cité fantômes.
Et la seule nausée qui me vient a l'odeur de vos secrets.
We float slowly
At the Steering wheel of our death cars.
Changing face as we turn to the right,
Then to the left …
Then of return in the binnacle of our boring life,
We swallow our small opium's pills
to erase the tracks of our bad interpretations;
Our migraines are not headaches,
But the balance of any account of a past life
To tell cock-and-bull stories, to be just able to survive our mediocrity.
I say "we", but I must be honest, I think
"he" or "she" either still "they".
Because for a long time, I resold my death car,
And I go walking, along the tortuous corridors
Of your subconscious as the sewers of one ghost city.
And the only nausea which comes to me has the smell of your secrets.
Note: Nobody in particular inspired this...
Au Volant de nos voitures mortelles.
Changeant de visage comme nous tournons à droite,
Puis à gauche…
Puis de retour dans l'habitacle de notre vie ennuyeuse,
Nous avalons nos petits cachets d'opium
Pour effacer les traces de nos mauvaises interprétations ;
Nos migraines ne sont pas des maux de têtes,
Mais le solde de tout compte d'une vie passée
A raconter des histoires à dormir debout,
Pour pouvoir juste survivre à notre médiocrité.
Je dis « nous », mais je dois être honnête, je pense
« il » ou « elle » ou bien encore « eux ».
Car depuis longtemps, j'ai revendu ma voiture mortelle,
Et je vais marchant, le long des corridors tortueux
De vos subconscients comme les égouts d'une cité fantômes.
Et la seule nausée qui me vient a l'odeur de vos secrets.
We float slowly
At the Steering wheel of our death cars.
Changing face as we turn to the right,
Then to the left …
Then of return in the binnacle of our boring life,
We swallow our small opium's pills
to erase the tracks of our bad interpretations;
Our migraines are not headaches,
But the balance of any account of a past life
To tell cock-and-bull stories, to be just able to survive our mediocrity.
I say "we", but I must be honest, I think
"he" or "she" either still "they".
Because for a long time, I resold my death car,
And I go walking, along the tortuous corridors
Of your subconscious as the sewers of one ghost city.
And the only nausea which comes to me has the smell of your secrets.
Note: Nobody in particular inspired this...
SATAN AND THE WOMAN WHO NEVER GREW UP…
Ha! Satan. Quel sujet intéressant!
On dit que les voies (voix ?) de Dieu sont impénétrables,Celles de Satan sont si faciles à lire !.. Pour qui sait.
Mais qui ne sait pas tombe facilement dans ses anneaux de pouvoir.
Il était une femme qui n'avait pas grandie…
Elle continuait dans sa vie d'adulte les turpitudes de son enfance.Mais lorsqu'on est enfant, le moindre rêve a un immense pouvoir d'auto-persuasion
Qui ne fonctionne plus lorsqu'on est devenu adulte.
Alors le recours à des subterfuges s'impose naturellement.
Ainsi notre enfant devenue grande s'en offrit des wagons entiers
Venus des sentiers de perdition de l'enfer.
Et elle manipula, manipula tant et plus,
Qu'un jour, plus rien autour d'elle n'eut la saveur du vrai,
La consistance du réel…
Dans un dernier sursaut d'instinct de survie, elle tenta de se persuader que c'était Dieu qui guidait sa main…
Mais seuls les attardés mentaux, et quelques amis de passage pouvait encore y croire.
Et son esprit se vrilla, de plus en plus…
Satan la possédait alors même qu'elle priait Dieu…
Mais tout le monde sait que l'une des forces de Satan est de se faire passer pour Dieu lui-même.
Alors…
Ha! Satan. What an interesting subject!
We use to say that God's ways (voice?) are impenetrable,Those of Satan are so easy to read!.. For who knows.
But who doesn't know falls easily in its rings of power.
It was a woman who had not grown …
She continued in her adult's life the turpitudes of her childhood.But when we are a child, the slightest dream has an immense power of auto-persuasion,
Which doesn't work anymore once being an adult.
Then the resort to subterfuges comes naturally.
So our child become older offered herself whole wagons of it,
Coming out from the perdition's paths of the hell.
And she manipulated, manipulated so much and more,
That it came a day, nothing more around her had the flavor of the truth,
The consistency of the reality …
In a last surge of survival's instinct, she tried to be persuaded that it was God who drove her hand …
But only the mentally retarded ones and some provisory friends could still believe in it.
And her spirit drilled, more and more …
Satan possessed her at the very moment she was praying God …
But everybody knows that one of Satan' strengths is to present himself as to be God.
Then …
Note: cette histoire est un conte. Nul n'est décrit ici... A moins que quelqu'un s'y reconnaisse...
This story is a tale. Nobody's described in here... Unless somebody recognized himself in...
jeudi 22 octobre 2009
Everybody knows this is nowhere.
Dans le silence de la nuit éternelle,
Je cours. Je cours sans but.
Il y a des jours où je cours après mon destin
Et d'autres après la fin.
Mais toujours je sais l'absurde.
Et je sais le destin n'être rien d'autre
Qu'une fantaisie militaire
Sur un champ de bataille.
Que sont nos vies que nous essayons,
En vain,
De remplir d'une soupe pas trop brutale ?
Car je sais la réalité sujette à discussions,
Interminablement abstraites, entre le magique
Et la révélation que science et foi ne sont qu'un.
Et le troupeau des humains ignorant,
mais beuglant à tue-tête leur savoir,
avance à grandes enjambées de tueries et de mensonges
sur la route des 1000 perditions.
Ainsi, la face voilée, je vous regarde du haut de mon perchoir,
Attendant votre fin pour assouvir la mienne…
In the silence of the eternal night,
I run. I run aimlessly.
There are days when I run after my fate
And the others after the end.
But always I know the absurd.
And I know the fate to be nothing else
Than a military whim
On a battlefield.
What are our lives which we try, in vain, to fill with a not too rough soup?
Because I know the reality subject to discussions,
Endlessly abstracted, between the magic
And the revelation that science and faith are only one.
And the ignorant herd of the human beings,
but squalling loud their knowledge,
moves with long strides of slaughters and lies
on the road of 1000 perditions.
So, the veiled face, I look at you down from my perch,
Waiting for your end to quench mine …
Je cours. Je cours sans but.
Il y a des jours où je cours après mon destin
Et d'autres après la fin.
Mais toujours je sais l'absurde.
Et je sais le destin n'être rien d'autre
Qu'une fantaisie militaire
Sur un champ de bataille.
Que sont nos vies que nous essayons,
En vain,
De remplir d'une soupe pas trop brutale ?
Car je sais la réalité sujette à discussions,
Interminablement abstraites, entre le magique
Et la révélation que science et foi ne sont qu'un.
Et le troupeau des humains ignorant,
mais beuglant à tue-tête leur savoir,
avance à grandes enjambées de tueries et de mensonges
sur la route des 1000 perditions.
Ainsi, la face voilée, je vous regarde du haut de mon perchoir,
Attendant votre fin pour assouvir la mienne…
In the silence of the eternal night,
I run. I run aimlessly.
There are days when I run after my fate
And the others after the end.
But always I know the absurd.
And I know the fate to be nothing else
Than a military whim
On a battlefield.
What are our lives which we try, in vain, to fill with a not too rough soup?
Because I know the reality subject to discussions,
Endlessly abstracted, between the magic
And the revelation that science and faith are only one.
And the ignorant herd of the human beings,
but squalling loud their knowledge,
moves with long strides of slaughters and lies
on the road of 1000 perditions.
So, the veiled face, I look at you down from my perch,
Waiting for your end to quench mine …
vendredi 16 octobre 2009
Nous ne parlons pas…
Nous ne parlons pas d'un pays mais d'une Terre…
Nous ne parlons pas d'hommes mais de l'Homme…
Nous ne parlons pas de visites mais d'un Voyage…
Nous ne parlons pas de rencontres mais d'une Communion…
Nous ne parlons pas d'amis mais de Frères…
Nous ne parlons pas de dimensions mais d'Infini…
Nous ne parlons pas de survie mais de la Vie…
Nous ne parlons pas de chaleur mais du Feu de Dieu…
Nous ne parlons pas des autres mais de Nous-mêmes…
Nous ne parlons pas de trouver mais de Mériter…
Nous ne parlons pas de penser mais de Méditer…
Nous ne parlons pas de nous mais d'Eux…
Nous ne parlons pas de vous mais de Moi…
Nous ne parlons plus de temps, mais d'Eternité
Nous ne parlons plus, nous Sommes.
We do not speak...
We do not speak about a country but about a Land …
We do not speak about men but about the Mankind …
We do not speak about visits but about a Journey …
We do not speak about meetings but about Communion…
We do not speak about friends but about Brothers …
We do not speak about dimensions but about Infinity …
We do not speak about survival but about the Life …
We do not speak about heat but about God's Fire…
We do not speak about the others but about Ourselves …
We do not speak of finding but of Deserving …
We do not speak of thinking but of Meditating …
We do not speak about us but about Them …
We do not speak about you but about Me …
We do not speak about time but of Eternity.
We do not speak anymore, we Are…
Mon Ami.
Dedicated to my sister...
Nous ne parlons pas d'hommes mais de l'Homme…
Nous ne parlons pas de visites mais d'un Voyage…
Nous ne parlons pas de rencontres mais d'une Communion…
Nous ne parlons pas d'amis mais de Frères…
Nous ne parlons pas de dimensions mais d'Infini…
Nous ne parlons pas de survie mais de la Vie…
Nous ne parlons pas de chaleur mais du Feu de Dieu…
Nous ne parlons pas des autres mais de Nous-mêmes…
Nous ne parlons pas de trouver mais de Mériter…
Nous ne parlons pas de penser mais de Méditer…
Nous ne parlons pas de nous mais d'Eux…
Nous ne parlons pas de vous mais de Moi…
Nous ne parlons plus de temps, mais d'Eternité
Nous ne parlons plus, nous Sommes.
We do not speak...
We do not speak about a country but about a Land …
We do not speak about men but about the Mankind …
We do not speak about visits but about a Journey …
We do not speak about meetings but about Communion…
We do not speak about friends but about Brothers …
We do not speak about dimensions but about Infinity …
We do not speak about survival but about the Life …
We do not speak about heat but about God's Fire…
We do not speak about the others but about Ourselves …
We do not speak of finding but of Deserving …
We do not speak of thinking but of Meditating …
We do not speak about us but about Them …
We do not speak about you but about Me …
We do not speak about time but of Eternity.
We do not speak anymore, we Are…
Mon Ami.
Pictures from South Tunisia
Dedicated to my sister...
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